jeudi 15 octobre 2015

En bref: nouveau directeur à Mirabilandia, ouverture de montagnes russes en bois dans 2 parcs et +

Après avoir subi une attaque DDoS, le site internet du parc Marineland, à Antibes, est à nouveau accessible. Le site était resté indisponible pendant plus de 24 heures.

Une autre nouvelle concernant Marineland, mais pas seulement. Bernard Giampaolo, directeur depuis 9 ans de ce parc marin, est nommé (dès le 2 novembre) à la direction de Mirabilandia en Italie, autre parc du groupe Parques Reunidos. Il remplace Giovanni Cavalli, qui quitte le parc italien pour entreprendre de nouveaux projets.
Jesús Fernández Morán, directeur de la division zoologique de Parques Reunidos Europe assurera la direction par intérim à Marineland en attendant la nomination d'un nouveau Directeur général dans les prochaines semaines.

Le parc britannique Dreamland Margate avait rouvert cette année après de nombreuses années de fermeture. Mais sa montagne russe en bois Scenic Railway était, quant à elle, restée fermée. Elle est maintenant elle aussi ouverte.

Scenic Railway - Photo: Dreamland Margate

Le parc texan ZDT's Amusement Park a inauguré sa montagne russe en bois Switchback. C'est la seule montagne russe en bois qui va en avant et aussi en arrière.



Le Fleury, petit parc d'attractions du nord de la France qui a été racheté par Teddy Vandrisse en 2011, va inaugurer sa première montagne russe en 2016, comme nous l'apprend La Voix du Nord. Ce sera un spinning coaster de 17 mètres de haut, acessible aux personnes mesurant minimum 1,40 mètres. Et ce ne sera par la seule nouveauté: "Pour la rentrée 2016, trois à cinq nouvelles attractions familiales sont prévues dont le grand huit, qu’on attendait depuis quatre ans."

Par ailleurs, l'ouverture du parc Twentieth Century Fox World (dont la construction a commencé en décembre 2013), dans la banlieue de Kuala Lumpur, a été reportée à 2017, comme on peut le lire sur Nikkei Asian Review. L'ouverture était initialement prévue pour fin 2016. Cette décision fait suite à la forte dévaluation de la monnaie malaisienne, rendant l'investissement dans le parc malaisien plus élevé.